| | Un texte et ... qui sait ? le début d'une trilogie ? ou même d'une graaaaaande saga :o | |
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Rêve Silencieux Guérisseur de l'Ombre
Messages : 31 Date d'inscription : 02/02/2013
| Sujet: Un texte et ... qui sait ? le début d'une trilogie ? ou même d'une graaaaaande saga :o Mer 6 Fév - 23:04 | |
| Voilà j'écris un hum ... s'il on peux dire "roman" ^^ Alors le sujet est assez spécial et pas forcément facile à comprendre -même avec le synopsis :p-. Donc je pense que seuls ceux qui ont des connaissances sur les époques XVII et XVIII siècles peuvent éventuellement apprécier et comprendre ce que j'ai écrit. Mh ... n'empêche ce n'est pas évident ... bref ! Je vais pas recommencer avec mes fameux gros pavés mdrr. - Synopsis:
Détachez vous de la réalité et découvrez un monde différent que celui que vous connaissez. Imaginez toutes les injustices du monde. Les héros, les miracles censés être historiques. Le néant. Effacez cela de votre mémoire, cela n'a jamais été et ne sera jamais ... A moins que le petit futé, Oliver Dove décide de s'en remettre à son loisir favori : fouiner.
- Explication un peu plus claire:
Alors déjà je vous ais parlé tout de suite du 17-18eme siècle il me semble ^^. Et vous avez sans doute repèré les mots-clés : "monarque" "nobles". Alors j'explique : si vous voulez (pour ceux qui on bien appris leur histoire à l'école xD) il s'agit d'une monarchie absolue (WTF ? Hé ben ... allez hop ! dictionnaire :p) comme dans ces époques. Seulement c'est une monarchie absolue ... moderne, autrement dit à notre époque : 21eme siècle. Mais le principe n'a toujours pas changé, on le comprends dans le chapitre I. Oui oui, vous allez me dire "N'importe quoi, et la révolution alors c'est du beurre ?". Seulement il est bien notez dans le synopsis qu'il est question d'imaginer que rien ne soit venu abolir cette monarchie = pas de révolutions. Car dans cette histoire il n'y a ni philosophes, ni révolutionnaires et pour tout dire : le peuple ne peux se révolter car il ne sait même pas lire et écrire, alors la révolution ... bonjour ><. Oui, oui je vous fais un joli cours d'histoire là :p mais c'est le sujet de mon roman >.> Mais tout ces évenements censés ne jamais avoir existés sont-ils vraiment inexistants ? Hé non car ... Chttttttt je n'en dis pas plus, lisez :p
Voilà en espérant vous avoir éclaircis car il est vrai que c'est dur de tilter le fin fond de l'histoire du premier coup >< mais au fil des chapitres ça s'éclaire, on avance xD Bref, tout commentaires sont les bienvenus :3
- chapitre I:
Luisant et luxueux jusqu'au bout de ces semelles, il s'avançait en triomphe. De faux sourires déformaient ses grandes lèvres pincées. Et son pouce sur son index, il se pavanait à tout les vents. Sa cape se soulevant sur son passage. Il salua minutieusement chaque individus, d'un bref signe de tête; pourtant ses petits yeux ne reflètaient aucune chaleur, si ce n'est la fierté de soi. Il décrocha un plus grand sourire à l'assistance moins nombreuse que la première. Ce petit groupe était pareillement habillé que le vaniteux personnage mais leur vêtements étaient moins éclatants. Bien que le bonhomme fut plus respectueux envers cette assemblée d'hommes que ceux qu'il avait salué sans grand enthousiaste, il ne portait intêret ni à l'un ni à l'autre. Une belle dame, tout aussi bien vêtue et d'apparence bien portante, tendis le bras et entrouvra sa grosse main, puis elle empoigna celle de son noble mari. Le monarque susurra deux mots à l'oreille de sa compagne, dont le gros visage rond et pâle passa immédiatemment de couleur normal à écarlate. Elle grima un sourire montant jusqu'à ses énormes joues roses. Des acclamations s'élevèrent de l'assisstance des nobles. Mais le dégoùt grima les faces des autres hommes. Ils étaient parfaitement distingués des autres individus par leur teint ambré, leur chevelure désordonnée et leur os bien visibles, à moins d'être myope, sous leur côtes. Devant tant d'acclamations du reste de l'Assemblée, aucun pauvres hommes ne put avoir l'audace de ne pas se joindre aux coeurs de félicitations. A cet instant, les coeurs des misérables battèrent au rythme du désespoir de chacun. Lorsque le tonnerre d'applaudissements arriva à son terme, le monarque claqua des doigts, dirigeant son geste précisement fasse aux petits bonhommes. Hochants la tête, les jeunes choristes s'avancèrent au centre de la salle, bien en vue de la foule. Le malaise passa sur leur visage creux; puis le plus grand d'entre eux ouvrit dynamiquement son cahier à la page exact. Il fut imité aussitôt par ses jeunes camarades. Déglutissant un instant, mais personne ne le remarqua, le meneur des choristes inspira et leva sa main vers le ciel. Dès ce signal, les autres se grattèrent la gorge afin d'éclarcir leur voix enrouée. L'aîné rabaissa sa main et aussitôt commença l'ouverture :
" Tel l'oiseau, si léger ... Après la première chantonnade, les regards se portèrent sur le cadet qui se sentit rougir, mais il finit par enchaîner. "Navigueeee sur l'o-océan. Des houlements s'élevèrent de l'assistance. L'enfant plaqua sa main sur sa bouche; sa matinée à poirauter sous le vent glacial l'avait enroué. Sa voix ressemblaient d'avantage à un râle. Les oreilles de tous avaient pris un choc et certains, leur mains sur les oreilles hurlaient au scandale. Paniquant, l'enfant recula, essayant d'échapper aux regards furieux; ce qui était bien sûr impossible. Le souverrain enragé, frappa du pied. Son épouse, quand à elle hurlait. Le cadet se baissa sous le regard glacial du monarque. Celui-ci murmura brutalement : " Sors immédiatemment !" Le petit choriste se baissa, jusqu'a mettre son nez au sol puis détala, appeuré. Le souverrain dut hausser sa voix pour faire taire l'Assemblée. Puis il fit tourner son poignet. Tous prêtèrent l'oreille prêts à entendre l'ordre du roi. Enfin, le grand noble lâcha, ferme : "Cette convocation est terminée. L'enfant impertinent sera puni comme il le mérite. Assez de protestations !", il baissa ses yeux noirs furieux au sol avant de poursuivre plus calmement : "Il est temps d'aller au banquet." Les protestations se calmèrent aussitôt. Des voix satisfaites s'élevèrent. Mais elles ne venaient que des nobles et de la femme du monarque; les bonhommes affamés se turent et ne firent aucun gestes. De toute évidence ils n'avaient pas été conviés au grand festin. Ils se retirèrent donc dans un parfait silence, tandis que les rires bien-heureux s'élevaient de la salle des Banquets.
- chapitre II(NON ACHEVÉ):
"Et s'avançant droit sur l'engin mortel, la corde fut tirée et la tête du bonhomme sauta." Son vieux livre épouvantait Oliver par les horreurs contées brutalements dans le contenu de l'ouvrage; et en même temps, il était fasciné par les fourmillantes idées de l'auteur du bouquin. S'il rencontrait le personnage qui avait rédigé cela il le qualifiera comme fantastique. Dans quelle bibliothèque trouverais-t-on un livre avec un thème pareil ? Comment Oliver pouvait-il se séparer du vieux bouquin ? Il sentit son coeur bondir rien qu'à cette idée. L'ouvrage était bien trop précieux pour qu'il se permette de seulement l'égarer.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un texte et ... qui sait ? le début d'une trilogie ? ou même d'une graaaaaande saga :o Dim 24 Fév - 13:04 | |
| Très bonne idée pour l'histoire . J'aime ta façon d'écrire, je suis trop pressé, ze veux la suite °_° ! |
| | | Rêve Silencieux Guérisseur de l'Ombre
Messages : 31 Date d'inscription : 02/02/2013
| Sujet: i Dim 24 Fév - 22:56 | |
| Hein ?
*approche ses yeux de l'écran*
Quelqu'un a lut ce que j'ai écrit et me dit qu'elle aime mon style d'écriture ? Oo
Heu .... oui je vais tenter d'écrire une suite x) | |
| | | Feuille Morte
Messages : 36 Date d'inscription : 27/01/2013 Localisation : Sur mes terres ê_e
| Sujet: Re: Un texte et ... qui sait ? le début d'une trilogie ? ou même d'une graaaaaande saga :o Mar 26 Fév - 17:55 | |
| Oui, oui, Vas y t'écrit bien j'trouve *w* et j'aime bien le contexte aussi ( on dit le contexte) ? *sors* | |
| | | Rêve Silencieux Guérisseur de l'Ombre
Messages : 31 Date d'inscription : 02/02/2013
| Sujet: Re: Un texte et ... qui sait ? le début d'une trilogie ? ou même d'une graaaaaande saga :o Mer 20 Mar - 11:59 | |
| Beau retard >.> Et merci pour vos commentaires J'espère que vous suivrez la suite de ce chapitre avec enthousiasme o/ - chapitre II (complet):
"Et s'avançant droit sur l'engin mortel, la corde fut tirée et la tête du bonhomme sauta." Le vieux livre épouvantait Oliver par les horreurs contées brutalements dans le contenu de l'ouvrage; et en même temps, il était fasciné par les fourmillantes idées de l'auteur du bouquin. S'il rencontrait le personnage qui avait rédigé cela il le qualifiera comme fantastique. Dans quelle bibliothèque trouverais-t-on un livre avec un thème pareil ? Comment Oliver pouvait-il se séparer du vieux bouquin ? Il sentit son coeur bondir rien qu'à cette idée. L'ouvrage était bien trop précieux pour qu'il se permette de seulement l'égarer. Il enleva la poussière d'un geste vif. Son menton en triangle en contact avec la couverture de cuir brune, maintenue par une lanière dorée. La pluie tambourrinait sur les carreaux. Mais les yeux d'Oliver, face aux vitrails, semblaient portés plus loin encore, malgré leur teinte verte, ils semblaient aussi ternes que le ciel pluvieux. Distraitement, Oliver plongea des doigts osseux dans le tissu de couverture. S'il on pouvait appeler ce mince tissage irritant : couverture. Et plusieurs autres lits démodés, sales et moisis, avaient été alignés contre le mur de béton rude et dépeint de sa couleur brun-beige. Lorsqu'Oliver l'effleura, un éclat de plâtre pas totalement durci lui tomba dans la paume. S'il s'agissait bien de plâtre. Comment le déterminer dans ce noir quasi-total ? Lorsqu'il releva ses jeunes jambes, il heurta inévitablement la table rongée aux mittes, les miettes de bois de celles-ci se plantèrent dans le genou d'Oliver. Il laissa transparaître un cri muet de douleur. Puis pour la troisième fois fit prudemment un quart de tour, ses oreilles décollées aussi aiguisées que celles d'un chat à l'affut du moindre bruit suspect. Oliver n'avait pas à s'en faire, une fois de plus, pour s'enfuir; ses jambes flageolaient sous l'envie de détaler, de se dissimuler dans le fouillis de couverts usagés et de vieilles tables. En attendant, il se recroquevillait sous l'une d'elles, arrachant vigoureusement les échardes de son genou à l'aide de ses dents, une goutelette rouge descendit aussitôt jusqu'à son pied. Son instinct criait bien sûr à Oliver de s'enfuir de cet espace étroit dans la pénombre, de retourner à sa demeure, soigner son genou. Mais comme de routine, il l'ignora. Le doute le pris pourtant, puis l'angoisse qui remonta dans sa gorge sèche : il avait faillit se faire surprendre, était-il vraiment nécessaire de s'y risquer à nouveau ? Il rapprocha le précieux livre à deux pouces de son nez. Il le considéra, brillant de sa réussite. Tu as eu ce que tu voulais. Alors maintenant fiche-le-camp. Oliver aurait de routine fait la sourde oreille à sa conscience, mais au point où il en était, le lieu où il se trouvait, même son impressionante audace préféra décliner. En grand silence, il retraversait le petit couloir, le sang battant aux tempes. Il se tortilla le cou pour surveiller ses arrières : personne. Voila qui tombait bien ! Oliver n'aurait jamais souhaité être découvert et se voir dire adieu à son bouquin. La poignée de fer ! A la hâte, Oliver y glissa ses doigts et la poussa, faisant reprendre la mélodie du grincement de la lourde porte qui s'ouvrit non sans peine.
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| | | Feuille de Flamme Guèrisseuse du Tonnerre
Messages : 63 Date d'inscription : 23/02/2013 Age : 23 Localisation : Sur les terres du Clan du Tonnerre.
| Sujet: Re: Un texte et ... qui sait ? le début d'une trilogie ? ou même d'une graaaaaande saga :o Mer 20 Mar - 12:45 | |
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